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On me trouve souvent un air de sanglier, car je n’ai pas été beaucoup sélectionné par l’homme. Ma toison épaisse et mon aspect rustique me donnent un air sauvage. Mon temps de gestation est atypique : 3 mois, 3 semaines et 3 jours !
Quand je suis énervé ou inquiet, je claque violemment des dents : on dit alors que je “casse la noisette”. Ma compagne, la laie, est capable de tout pour protéger ses petits marcassins. Elle peut charger avec une force redoutable.
Je suis originaire de Gascogne, et mes ancêtres vivaient déjà dans la région bien avant Henri IV. C’est même moi qui ai contribué à la fameuse “poule au pot” du roi.
Ma crête se distingue par sa forme frisée, avec une épine qui suit élégamment la courbe de ma nuque, ce qui me donne un petit air original. Un groupement d’éleveur est chargé de veiller à ma sauvegarde depuis 1997.
Je viens du Limousin et mes plumes sont très recherchées par les pêcheurs pour fabriquer des mouches artificielles. Grâce à moi, la pêche à la mouche est devenue une vraie tradition dans la région !
On m’a cru perdue pendant longtemps. Heureusement, des passionnées du pays m’ont sauvée dans les années 2000.
Je viens de Bretagne, et mon plumage gris barré de blanc rapelle celui du coucou, ce qui m’a valu mon nom. Je suis considérée comme une excellente pondeuse : chaque année, j’offre entre 170 et 200 gros œufs à la coquille crème ou roux, très appréciés pour leur taille et leur goût.
Mon plumage le plus connu est noir avec de jolis reflets cuivrés, mais je peux porter une dizaine de robes différentes. Mes plumes vont même jusqu’à couvrir mes pattes, ce qui me distingue au milieu de la basse-cour. Mes oeufs sont de couleur foncée, certains parlent même “d’oeufs en chocolat” !
On dit de moi que je suis rustique, je ne crains ni la pluie ni le froid de mon pays et je peux vivre dehors toute l’année sans difficulté. Ma silhouette élancée, ma crête fine et un peu penchée, ainsi que mes tarses marbrés rose et noir me rendent unique parmi les poules françaises. J’ai failli disparaître, car je n’étais pas considérée “assez productive” par les élevages industriels : heureusement, des passionnés se sont battus pour me sauver à partir des années 1990.
C’est grâce à mes favoris très fournis que l’on me surnomme souvent la “poule à tête de hibou”. Avec mes 5 doigts au bout de chaque patte, mes favoris de plumes, ma tête de hibou et mes tarses plumés, on me reconnaît tout de suite ! Beaucoup trouvent que j’ai un style unique et majestueux.
Mon apparence ne passe pas inaperçue : j’arbore une belle huppe de plumes sur la tête, une crête double qui rappelle la feuille de chêne, et surtout, j’ai 5 doigts à chaque patte.
Grâce à mon cou nu, je suis moins embêtée par les parasites que les autres poules ! Les éleveurs apprécient beaucoup ce petit plus pratique pour la vie en plein air.
Ma crête en forme de cornes, rouge et dressée sur ma tête, m’a valu le surnom de “poule du diable” : certains trouvent ce look impressionnant, d’autres l’adorent pour son originalité.
Je suis championne de la ponte : chaque année, je peux pondre entre 200 et 250 œufs blancs, et je commence très tôt, parfois dès 5 ou 6 mois. Mes œufs sont plutôt gros et pèsent autour de 60-65g.
Ce qui fait tout mon charme; c’est ma huppe imposante et élégante sur la tête, souvent si volumineuse qu’elle me cache la vue… A la cour du roi Louis XIV et sur les tables des grands gourmets parisiens, j’étais une des volailles les plus prisées pour la finesse de ma chair.
Mon plumage blanc parsemé de petites touches noires sur les ailes et la queue, fait qu’on me confond parfois avec le Sussex.
Je suis un véritable symbole : mon image veille sur de nombreux clochers et girouettes à travers la France, et même si je ne suis pas officiellement l’emblème du pays, beaucoup me voient comme telle.
Mon nom vient de mon plumage majestueux, blanc liseré de noir sur le dos et la queue, tandis que ma face arbore un rouge éclatant : on appelle ces parties colorées les caroncules.
Mon nom vient du fleuve Phase, en Géorgie, d’où je tire aussi ma réputation mythologique : on raconte que Jason et les Argonautes m’auraient ramené lors de leur quête de la Toison d’Or. Les reflets verts ou violets de ma tête et mon collier blanc me rendent facilement reconnaissable, alors que les femelles sont plus discrètes.
Originaire de Taïwan, j’arbore une crête blanche, la tête et le cou bleu foncé, de grandes caroncules rouges sur le visage et sur mon dos, une large bande blanche qui me distingue facilement. Je suis plutôt discret et solitaire en dehors de la saison des amours.
Je suis une sous-espèce rare et discrète du faisan argenté, qu’on rencontre principalement au nord du Vietnam, dans les forêts montagneuses. Au printemps, je me fais entendre avec mes sifflements et gloussements courts pour attirer les femelles et marquer ma présence sur mon territoire.
Mon plumage est un vrai festival de couleurs : selon la lumière, je brille de reflets irisés verts, bleus, violets dorés et cuivrés, ce qui fait de moi l’un des oiseaux les plus spectaculaires du monde. Lors de ma parade amoureuse, je dresse ma huppe en éventail, je fais rouler des petits cailloux pour attirer l’attention de la femelle, puis j’ouvre grand mes ailes pour laisser scintiller tous mes reflets métalliques.
Mon plumage est très coloré, avec la tête noire et argent, le croupion rouge et jaune, une longue queue blanche barrée de noir, une huppe rouge et une collerette balnche et noir. A contrario, la femelle se fait beaucoup plus discrète avec son plumage brun tacheté.
On dit de moi que je porte un manteau d’or, même mon nom “Isabelle” évoque cette coloration douce et lumineuse. Le mâle prend sa couleur jaune caractéristique vers l’âge de 16 mois environ.
PARC ANIMALIER DE GRAMAT 1681 Avenue André Malraux, 46500 GRAMAT – FRANCE
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