OFFRE EXCLUSIVE
1€ offert pour l’achat de billets en ligne
Je viens du Sud de la France, là où les rochers sont brûlants et la nourriture rare. Je suis très rustique : j’ai appris à survivre dans ces collines arides près de Marseille. Mon lait donne la fameuse Brousse du Rove, un fromage qui a obtenu une AOP pour protéger notre race et notre savoir-faire.
Je suis élevée uniquement pour ma laine précieuse qu’on appelle le mohair. Ma toison est blanche, soyeuse et brillante, avec des mèches longues qui poussent vite. Le mohair est une fibre naturelle de grande qualité, légère, chaude et très résistante.
Je suis reconnaissable à mes grandes oreilles tombantes ! Je suis née en Grande-Bretagne, grâce au croisement de chèvres locales britanniques avec des chèvres aux longues oreilles venues d’Inde , du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord.
Je suis toute petite grâce à des croisements réalisés entre les plus petites chèvres. Ma taille réduite n’est pas un hasard : l’homme a sélectionné les plus petits sujets pour que je sois miniature, souvent pour être un animal de compagnie ou d’ornement.
Originaire de Sicile, on me reconnaît à mes spectaculaires cornes torsadées. Je produis un lait de très bonne qualité qui est très apprécié.
Je suis un petit cheval originaire de l’ouest du Pays Basque. Pendant des siècles, j’ai aidé les paysans dans les champs pour les travaux agricoles, avant d’être aussi employé dans les mines et pour la contrebande. Je me suis adapté à la vie dans les montagnes pyrénéennes.
J’ai failli disparaître, mais grâce à des programmes de réintroduction, je peux à nouveau galoper librement dans les steppes de Mongolie, de Chine ou du Kazakhstan. J’ai des jambes plus courtes et un corps plus trapu que les chevaux domestiques, ce qui me rend très résistant dans les steppes d’Asie centrale.
J’étais un cheval sauvage qui vivait dans les plaines d’Europe de l’Est. J’ai disparu au XIXè siècle, mais dans les années 1930, des scientifiques allemands et polonais ont croisé différentes races pour créer des chevaux qui me ressemblent. On dit aussi que je suis à l’origine de la plupart des races de chevaux domestiques.
Je viens des îles du même nom, au nord de l’Ecosse. Je suis l’un des plus petits poneys au monde : je ne mesure jamais plus d’1m10 au garrot !
On me reconnaît à mes longs poils en cadenettes. Sur l’île de Ré, pour me protéger des moustiques, on m’habillait d’une salopette rayée en toile de jute, particulièrement dans les marais salants.
J’ai été sélectionné pendant des siècles pour accompagner les bergers lors des longues transhumances : je portais le matériel, la nourriture, le sel et même les agneaux trop jeunes pour marcher. Je suis réputé pour mon caractère calme, docile et patient et pour ma grande endurance.
Je viens du bassin méditerranéen, surtout de Sardaigne et de Sicile, où mes ancêtres étaient déjà naturellement de petite taille. Les humains ont seulement sélectionné les plus petits d’entre nous au fil du temps pour garder cette taille miniature, et aujourd’hui, je fais le bonheur des familles comme animal de compagnie.
On m’appelle aussi la « tête rouge ». Mon petit gabarit et ma rusticité me permettent de transhumer en montagne et de supporter de grands écarts climatiques.
Je suis le plus petit mouton du monde ! Je fais généralement moins de 50 cm au garrot ! Je suis né sur l’île d’Ouessant, au large de la Bretagne, où j’ai appris à résister au vent, au froid et à la maigre végétation. Quelle que soit la couleur de ma toison, ma peau reste toujours noire.
À la naissance, je suis tout noir, mais en grandissant, une bande blanche apparaît sur ma tête et ma laine devient crème, tandis que mes pattes restent noires.
J’ai longtemps été le compagnon des fameux bergers landais sur échasses : perchés à plus d’un mètre de haut, ils pouvaient surveiller mon troupeau et marcher jusqu’à 20 km par jour à mes côtés.
Je suis reconnue pour ma rusticité et ma bonne adaptation aux milieux difficiles, je suis notamment résistant aux tiques grâce à ma toison serrée ! Mes lunettes noires me protègent de l’éclat du soleil.
Je suis né dans les montagnes de Savoie, entre les villages de Thônes et Marthod, et je porte fièrement leur nom. Ma toison est blanche, mais tu me reconnaîtras facilement car le tour de mes yeux, mes oreilles, mon museau et le bout de mes pattes sont noirs.
Mes cornes torsadées sont ma fierté : elles peuvent dépasser un mètre de long, aussi bien chez moi, le mâle, que chez la femelle. La légende m’appelle le tueur de loups.
Ma toison est blanche avec de grandes taches noires : on dit que j’ai une robe « pie », ce qui me rend facile à reconnaître dans un troupeau. On me surnomme le mouton à 4 cornes, mais en réalité, je peux en avoir de 2 à 6.
Je suis né en Normandie, dans le Bessin, grâce à un croisement entre des cochons normands et des Berkshire anglais au XIXe siècle. J’ai failli disparaître après la Seconde Guerre mondiale à cause des bombardements en Normandie, mais des éleveurs passionnés ont lancé un programme de sauvegarde dans les années 1980 pour me sauver.
On m’appelle aussi le “cul noir” à cause de ma robe rose avec une grande tache noire sur l’arrière-train. Cette particularité physique me permet de me distinguer des autres races.
Je suis une ancienne race de Normandie, de type celtique, avec une robe blanche et de longues oreilles tombantes qui recouvrent complètement mes yeux. Ma truie est très prolifique : elle peut donner naissance à douze porcelets par portée, ce qui réjouissait les fermiers normands.
Je suis aisément reconnaissable à ma robe bicolore : ma tête et mon arrière-train sont noirs, le reste de mon corps est blanc.
PARC ANIMALIER DE GRAMAT 1681 Avenue André Malraux, 46500 GRAMAT – FRANCE
Expériences immersives
Nuits insolites