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J’avais disparu de France mais je suis revenu naturellement depuis l’Italie dans les années 1990. Nous sommes environ 1000 aujourd’hui sur le territoire.
Nous sommes une centaine dans les Pyrénées. Omnivores, nous nous alimentons principalement de fruits et de baies, mais nous apprécions aussi la viande et le poisson. En hiver, notre corps fonctionne au ralenti, c’est ce que l’on appelle l’hivernation.
Discret et rapide, je chasse à l’affût des proies comme le chevreuil ou le chamois. Savez-vous comment s’appellent les longs poils qui surmontent mes oreilles ?
J’ai une ouïe incroyable : je peux entendre les petits rongeurs qui creusent sous la terre. Ma queue touffue, que j’appelle mon panache, m’aide à garder l’équilibre quand je cours et me sert aussi de couverture pour me réchauffer quand je dors.
Ma fourrure change de couleur selon la saison : elle est blanche en hiver pour me camoufler dans la neige, et brune ou grise en été. Elle me permet de supporter des températures allant jusqu’à -50°C.
A la naissance, mes petits ne savent pas nager mais je leur apprends à plonger et à flotter. Mes vibrisses, qui ressemblent à de longues moustaches, m’aident à repérer les poissons et les petites proies dans l’eau, même quand il fait sombre.
Je suis un vrai petit voleur ! Mon nom vient du latin “furo”, qui veut dire voleur, car j’adore chiper de petits objets et les cacher dans mes coins secrets. J’utilise plein de sons pour communiquer : un cri aigu si j’ai peur ou mal, un feulement si je suis en colère, et parfois même des petits grognements quand je suis excité ou contrarié.
Je suis un excellent terrassier : je peux déplacer jusqu’à 40 tonnes de terre pour creuser mon terrier, qui peut avoir entre 40 et 80 entrées.
Contrairement à ce que l’on pense, je ne lave pas mes aliments par soucis de propreté, je les frotte avec mes pattes car j’ai une très mauvaise vue et un sens du toucher très développé. Je cherche souvent ma nourriture dans des milieux humides, comme les rivières ou les marécages.
Je ne viens pas d’Inde contrairement à ce que mon nom indique. Si je porte ce nom c’est parce que lorsque les explorateurs espagnols m’ont découvert, ils croyaient être arrivés en Inde, alors que je suis originaire des Andes, en Amérique du Sud.
Il m’arrive d’attaquer les poulaillers pour me nourrir. Je peux manger des œufs, des poussins et parfois même des poules adultes, surtout si elles sont faciles à attraper. Mais mon menu est plus varié : je mange aussi des petits mammifères, des oiseaux, des insectes …
Avec mon corps élancé, ma longue queue tachetée et ma démarche souple, beaucoup pensent que je fais partie de la famille des félins, mais ce n’est pas le cas ! Je fais partie de la famille des viverridés. Originaire d’Afrique, ce sont les humains qui m’ont introduite en France il y a plusieurs siècles. Je suis aujourd’hui protégée au niveau national.
Je ressemble à vos chats domestiques, mais ne vous y trompez pas : mon caractère est bien différent, je suis beaucoup plus farouche et difficile à approcher. Vous pouvez me reconnaître à ma queue touffue marquée de larges anneaux noirs.
Je proviens de la péninsule indienne, et on me reconnait facilement grâce à mon pelage fauve parsemé de taches blanches toute l’année. Ce qui me vaut mon nom, “chital” en Inde qui signifie “avec des taches”
Je suis un animal discret et curieux : on me croise surtout à l’aube ou au crépuscule car c’est à ces moments que je suis le plus actif. Pendant la période de rut, nous tournons en rond et laissons des traces au sol que les humains appellent des “ronds de sorcières”.
On dit souvent que je suis élégant et on m’associe à la noblesse. Mes bois tombent tous les ans et ils peuvent pousser jusqu’à 1 cm par jour. Impressionnant, non ? Pendant la période de rut, je deviens bruyant et bagarreur et j’émets un cri rauque, c’est ce que l’on appelle le brame.
Je suis considéré comme l’un des cervidés les plus “bavards” : je peux émettre près de 10 vocalises différentes. Pendant la période de rut, qui a lieu de mi-septembre à fin novembre, les mâles émettent un long sifflement très aigu qu’ils répètent trois fois, bien différent du brame du cerf élaphe.
Ma couleur vient d’une variation génétique qui rend mon pelage presque entièrement blanc, et beaucoup plus repérable que le daim moucheté.
Je suis très adaptable, je peux vivre dans des forêts denses, des prairies ouvertes et supporter des climats très variés, du froid nordique aux régions plus chaudes.
Chez nous, les rennes, même les femelles portent des bois ! C’est unique parmi les cervidés. Mes sabots sont larges et plats, parfaits pour ne pas m’enfoncer dans la neige et marcher facilement. Je les utilise également pour creuser la neige à la recherche de lichens.
Je suis un excellent nageur : je peux traverser de larges rivières et même plonger jusqu’à 6 mètres de profondeur pour manger les plantes aquatiques que j’adore.
On me considère comme l’ancêtre des vaches domestiques. Des éleveurs ont tenté de me “reconstituer” en croisant différentes races de vaches qui me ressemblent le plus, pour retrouver mon apparence d’origine.
On me reconnaît à ma grande frange qui tombe devant mes yeux, certains se demandent même comment je fais pour voir où je vais. Ma fourrure est longue, épaisse et ondulée, parfois rousse, noire, grise, blonde ou blanche, et elle peut mesurer plus de 30 cm. Je suis la plus ancienne race bovine enregistrée au monde !
Je suis née dans la chaîne de montagne des Pyrénées, on m’a longtemps élevée pour la viande de mes chevreaux et mon lait. Menacée de disparition, des éleveurs ont créé une association pour me protéger.
PARC ANIMALIER DE GRAMAT 1681 Avenue André Malraux, 46500 GRAMAT – FRANCE
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